Consultation sur le perfectionnement et la pénurie
L’Alliance veut connaître la position de ses membres et de leurs milieux sur ce sujet. L’Alliance demande donc à ses membres de se concerter entre collègues afin d’en dégager une position « établissement ». La compilation de ces positions permettra de mettre en place un plan d’action auquel devra adhérer la majorité des collègues. Il faut répondre à la consultation avant 13 h, le 6 février.
Les formations en soirée
L’Alliance craint qu’en favorisant les formations en soirée, elles deviennent la norme à la CSDM. De plus, puisque l’Alliance considère que le temps de formation constitue du temps de travail, elles contreviendraient au contrat de travail — puisque cela entraîne un dépassement des 32 heures et de l’amplitude de 8 heures dans une journée — et contribueraient à alourdir la tâche enseignante en s’ajoutant aux tâches de la semaine régulière. Les formations en soirée entrent également en conflit avec la vie personnelle et familiale de plusieurs.
En assemblée de personnes déléguées, il a été proposé de refuser catégoriquement de participer aux formations en soirée. L’Alliance aimerait connaître la position des équipes-écoles et des équipes-centres à ce sujet, en tenant compte de l’élément suivant :
- Si un refus de participer à ces formations de soirée est adopté, il devra être respecté et appliqué par une TRÈS grande majorité des profs et doit obtenir un appui important dans les milieux.
Les formations en journées pédagogiques institutionnelles
L’Alliance croit qu’utiliser les journées pédagogiques institutionnelles pour suivre du perfectionnement libre et volontaire est une option intéressante qui devrait être envisagée par la CSDM, si on tient compte des éléments suivants :
- Les journées pédagogiques institutionnelles ont généralement déjà un contenu imposé par la CSDM ;
- L’éducation des adultes et la formation professionnelle ont seulement 1 journée institutionnelle par année.